Travailler par portage salarial dans la mode, c’est possible. Véronique Soboul- Polchi, consultante portée en pédagogie de la mode a choisi le portage salarial en 2016 pour continuer à exercer librement un métier qui la fait vibrer depuis 30 ans.
Introduction
La grande histoire de la mode se réinvente à chaque saison, mise en scène par les grands noms du stylisme ou ceux moins connus de jeunes créateurs. Mais où commence vraiment la saga de nos désirs vestimentaires ? Elle naît dans les écoles de mode où des professionnels ont le désir de passer le relais de leur savoir. Ils transmettent et enseignent les bases fondamentales et les nouveautés d’un des plus beaux métiers d’art appliqué à la mode, aux nouvelles pouces talentueuses. Véronique Soboul-Polchi, consultante portée en pédagogie de la mode en est l’une des représentantes les plus connues, les plus passionnées et les plus novatrices.
Du stylisme modélisme à l’enseignement : une passion faite de rencontres
Il est des métiers que l’on choisit par vocation car ils vivent en nous dès le plus jeune âge. Pour Véronique Soboul-Polchi, styliste modéliste et consultante portée en pédagogie de la mode, tout commence comme une évidence en 1972 : « Ma mère rentrait d’un voyage dans les Caraïbes. Elle portait une tenue toute en couleurs, un brin psychédélique comme c’était la mode à l’époque. Ce vêtement m’a touché au cœur, il m’a fait rêver et je me suis demandée pourquoi les autres ne s’habillaient pas encore comme cela. La mode est un moyen d’expression magnifique et magique qui change la vision que l’on a d’une personne. S’habiller, c’est raconter une histoire sur soi, à notre entourage. »
Elle fera de la mode son métier et sa passion. Elle intègre Esmod [www.esmod.com], la première grande école de mode de France, où elle obtient son diplôme de Stylisme/Modélisme en 1980. Fondée il y a 170 ans, Esmod est à l’origine de la première méthode pédagogique écrite de coupe. C’est dans ses murs que sont inventés le mètre ruban et le premier mannequin « couturière ».
Véronique Soboul- Polchi lance ensuite sa marque « Première » et ouvre une boutique de créateurs en province.
Quelques années plus tard, la directrice d’Esmod Nice la contacte pour lui proposer d’enseigner à Paris. Cette nouvelle nourriture intellectuelle et ce défi créatif la séduisent. Elle enseigne le stylisme et modélisme puis prend en charge la classe de costumes de scène d’Esmod Paris, libre de créer son programme pédagogique. Elle continue parallèlement sa première activité en free-lance.
En 1991, Véronique Soboul-Polchi rencontre Xavier Chaumette [https://veroniqueetxavier.com/notre-parcours], passionné comme elle par la pédagogie de la mode. Ensemble, ils mettront au point pendant 25 ans des programmes de formations et des méthodes d’enseignement dans les domaines du stylisme, du modélisme et du management de la mode, pour des écoles prestigieuses et pour leurs franchises dans le monde entier : Esmod, Chardon Savard, et Mod’art International où ils dirigent l’enseignement du département stylisme-modélisme pendant 14 ans.
Un nouvel horizon depuis 2016 : consultante free-lance en pédagogie de la mode
En 2016, Véronique Soboul-Polchi décide de poursuivre son activité en toute liberté, en choisissant le statut du portage salarial [site définition du portage salarial] : « Le portage salarial m’a apporté une liberté d’esprit considérable et une grande confiance. Je suis quelqu’un qui fonctionne à l’instinct. Et avec MISSIONS-CADRES [site notre vision du portage], j’ai le sentiment d’être soutenue, protégée et accompagnée. Qu’une structure veille sur moi. J’ai également la sécurité d’un salaire, de la prise en charge de ma gestion administrative. Je suis libre de me consacrer à mon cœur de métier. »
Une expertise mondiale au service des écoles et des professionnels de la mode
Forte d’une expertise reconnue à l’échelon mondial, Véronique Soboul-Polchi exerce désormais comme consultante en pédagogie de la mode [site devenir consultant en portage salarial] auprès des écoles et centres de formation de la mode, des entreprises textiles et des jeunes créateurs dans le monde entier.
Toujours en partenariat avec Xavier Chaumette, le tandem est régulièrement missionné pour :
• Créer des programmes pédagogiques personnalisés pour les écoles de mode à l’international, pour les étudiants en stylisme, modélisme et management de la mode.
• Assurer des formations pédagogiques à destination des enseignants et intervenants en école de mode.
• Prendre en charge la direction artistique des écoles de mode avec la mise en place et/ou la gestion de l’image de marque et du positionnement des établissements
• Animer des formations pour étudiants et formateurs sur Paris
• Intervenir en tant qu’enseignants dans le cadre de séminaires, workshop et conférences nationales et internationales
• Conseiller et soutenir les jeunes créateurs pour créer et développer leur marque et leurs collections.
• Organiser des formations professionnelles pour les entreprises du secteur de la mode : séminaires, conférences, ateliers créatifs ou techniques.
• Aider à la recherche de profils professionnels en RH.
La valeur ajoutée d’une pédagogie en prise avec l’air du temps
Les programmes d’enseignement et de formation professionnelle de Véronique Soboul-Polchi et Xavier Chaumette sont novateurs car ils répondent à des règles incontournables dans un secteur d’activité où le changement est quasi constant :
• Ne pas rester enfermé dans les méthodes acquises.
• Faire évoluer les programmes pédagogiques en fonction des mutations de la mode et de l’industrie.
• Rester ouvert aux multiples expressions et aux diversités économiques et culturelles de la mode
• Sortir des modèles d’enseignement restrictifs et formatés.
« Nous définissons des programmes pédagogiques à forte identité car ils sont conçus sur mesure. Beaucoup d’écoles dans le monde proposent des programmes très formatés. Or, si par exemple vous vous adressez à des jeunes stylistes Tunisiens, la culture, les moyens, l’approche créative ne sont pas les mêmes qu’au Etats-Unis.
Nous avons toujours donné la priorité à l’adaptabilité des enseignements en fonction des budgets et du pays. Dans le domaine de la mode, les évolutions sont rapides et il est nécessaire d’adapter les contenus pédagogiques aux nouveaux besoins des entreprises du secteur, aux nouvelles techniques et technologies, aux nouveaux modes de management.
Notre valeur ajoutée est de faire constamment évoluer nos modèles pédagogiques en fonction de la réalité professionnelle du terrain. Nous sommes en audit constant. Nous avons un vivier important sur le terrain de professionnels que nous avons formés pour une bonne partie d’entre eux et qui restent très proches de nous pour nous faire remonter les besoins et aussi les manques en termes de formation.
Un autre point essentiel est la créativité en pédagogie. Nous renouvelons constamment les contenus de nos cours. En tant que conseils auprès des jeunes créateurs, nous sommes aguerris après 30 ans d’expérience. Nous voyons tout de suite, les changements à apporter dans la collection d’un jeune créateur, par exemple l’équilibre des produits entre eux, nous savons si les associations de couleurs ou de matières fonctionneront ou pas. »
En 2018, continuer à transmettre avec passion
De son premier jour d’enseignement, Véronique Soboul-Polchi garde le souvenir d’une double révélation : « la passion de transmettre les gestes d’un métier exigeant et celle de le faire aimer par les étudiants».
Au-delà du succès des prochaines missions, la consultante portée en pédagogie de la mode souhaite avant tout : « continuer à avoir le cœur qui bat passionnément quand je travaille. Rencontrer des professionnels à haute valeur ajoutée, que ce soit dans le cadre de mes missions de consulting /formation en entreprise ou dans le cadre des écoles de mode. Je souhaite continuer à donner mon savoir et mes compétences à des gens qui en ont besoin. Je n’ai jamais eu de classe en face de moi mais un groupe d’individus.
Je souhaite également avoir un retour des professionnels auprès desquels j’interviens. Je ne veux pas vendre un service. Je construis une relation avec les gens avec qui je travaille même si ce n’est que pour une mission [site à qui s’adresse le portage salarial] d’un jour.
J’ai développé de très grandes amitiés grâce à cela avec de jeunes stylistes qui ont lancé leur marque et sont aujourd’hui connus du grand public. Même si la mode doit répondre à des modèles de business de plus en plus drastiques, le créateur ne devrait jamais perdre son âme et ne jamais se gommer derrière un business modèle. Pour que la mode continue à rayonner, la formation est essentielle. »
Pour en savoir plus sur Véronique Soboul-Polchi et Xavier Chaumette, rendez-vous sur leur site : https://veroniqueetxavier.com